Organes: Prostate - Spécialités: Imagerie
Hôpitaux de Bordeaux MAJ Il y a 4 ans

Étude UROPET : Étude de phase 2 évaluant l’efficacité diagnostique de la tomographie par émission de positons/tomodensitométrie au 68Ga-PSMA-617 avec celle au 68Ga-Rm<sup>2</sup> chez des patients ayant un cancer de la prostate de différents risques métastatiques. Un cancer de la prostate est une maladie qui se développe à partir de cellules de la prostate initialement normales qui se transforment et se multiplient de façon anarchique, jusqu’à former une masse appelée tumeur maligne. La majorité des cancers de la prostate sont des adénocarcinomes (90 %) ; ils se développent à partir des cellules qui constituent le tissu de revêtement de la prostate (cellules épithéliales). La Tomographie par Émission de Positons/tomodensitométrie (TEP/TDM) avec des analogues radiomarqués de l’antigène membranaire spécifique de la prostate (PSMA) pourrait être plus sensible et plus spécifique pour la détection des métastases ganglionnaires dans les cancers de la prostate à haut risque métastatique, comme le montrent des résultats prometteurs avec le PSMA-617 radiomarqué dans des études récentes. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité diagnostique de la tomographie par émission de positons/tomodensitométrie au 68Ga-PSMA-617 avec celle au 68Ga-Rm2 chez des patients ayant un cancer de la prostate de différents risques métastatiques. Les patients seront répartis en 3 groupes selon le score de Gleason. Tous les patients recevront une biopsie et une Imagerie par Résonance Magnétique (IRM). Après un délai de 6 semaines, tous les patients passeront une TEP/TDM au 68Ga-Rm2 et une TEP/TDM au 68Ga-PSMA-617 (sans ordre de préférence) dans un intervalle de 2 à 21 jours. Après un délai de 2 mois, tous les patients auront une prostatectomie radicale et les patients ayant un cancer de la prostate à haut risque auront en plus un curage ganglionnaire. Aucun suivi ne sera effectué hors des procédures standards.

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Étude ABX-CT-301 : étude de phase 3 randomisée comparant l’efficacité de la TEP (tomographie par émission de positons) au F-18 PSMA-1007 par rapport à la TEP à la F-18 fluorocholine, chez des patients ayant une récidive biochimiquement diagnostiquée après un traitement antérieur définitif du cancer de la prostate localisé. Le cancer de la prostate est le cancer le plus répandu chez les hommes. Beaucoup d’hommes âgés sont atteints de cette maladie sans le savoir, car il croît lentement et il peut souvent être enlevé complètement ou traité avec succès après avoir été diagnostiqué. Le diagnostic d'une récidive du cancer de la prostate après une thérapie antérieure définitive est basé sur une augmentation de la concentration sanguine de l’antigène spécifique de la prostate. Pour localiser les lésions tumorales chez les patients qui présentent une concentration d’antigène spécifique de la prostate en hausse. Les méthodes diagnostiques disponibles (tomodensitométrie, IRM, scintigraphie osseuse, tomographie par émission de positons (TEP)) fournissent une précision de diagnostic à des stades avancés avec un taux d’antigène spécifique de la prostate élevé. Il a été récemment signalé que la TEP combinée à des produits radiopharmaceutiques ciblant l'antigène membranaire spécifique de la prostate (PSMA), était capable de détecter des lésions cancéreuses de la prostate avec une haute sensibilité. L'antigène membranaire spécifique de la prostate est une glycoprotéine membranaire qui est exprimée dans tous les types de tissus prostatiques, avec une expression accrue dans le cancer de la prostate. La choline est un précurseur important de la synthèse des phospholipides, qui sont des composants essentiels de la membrane des cellules. Les tissus dont le métabolisme est élevé ont une absorption de choline plus élevée, c’est le cas des tumeurs. La TEP à la F-18 fluorocholine permet de détecter et de localiser précisément les tumeurs malignes chez les patients ayant un cancer de la prostate. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité d’un diagnostic par une TEP au F-18 PSMA-1007 par rapport à une TEP à la F-18 fluorocholine chez des patients ayant une récidive diagnostiquée biochimiquement après un traitement antérieur définitif du cancer de la prostate localisé. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Une imagerie par TEP- au F-18 PSMA-1007 sera réalisée pour les patients du 1er groupe suivie d’une imagerie par TEP à la F-18 fluorocholine. Une imagerie par TEP- à la TEP à la F-18 fluorocholine sera réalisée pour les patients du 2e groupe suivie d’une imagerie par TEP au F-18 PSMA-1007. Les patients seront revus pour des examens biologiques et radiologiques avant chaque TEP. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 6 mois après le début de l’étude.

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Hôpitaux de Bordeaux MAJ Il y a 4 ans

Étude PROSTATEP : étude de phase 2 comparant l’efficacité diagnostique de la tomographie par émission de positons/tomodensitométrie au 68Ga-PSMA-617 avec celle au 68Ga-Rm<sup>2</sup> chez des patients ayant un cancer de la prostate avec un score de Gleason 3+4 ou avec un score de Gleason 4+3. Un cancer de la prostate est une maladie qui se développe à partir de cellules de la prostate initialement normales qui se transforment et se multiplient de façon anarchique, jusqu’à former une masse appelée tumeur maligne. La majorité des cancers de la prostate sont des adénocarcinomes (90 %) ; ils se développent à partir des cellules qui constituent le tissu de revêtement de la prostate (cellules épithéliales). La Tomographie par Émission de Positons/tomodensitométrie (TEP/TDM) avec des analogues radiomarqués de l’antigène membranaire spécifique de la prostate (PSMA) pourrait être plus sensible et plus spécifique pour la détection des métastases ganglionnaires dans les cancers de la prostate à haut risque métastatique, comme le montrent des résultats prometteurs avec le PSMA-617 radiomarqué dans des études récentes. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité diagnostique de la tomographie par émission de positons/tomodensitométrie au 68Ga-PSMA-617 avec celle au 68Ga-Rm2 chez des patients ayant des lésions protatiques avec un score de Gleason 3+4 ou avec un score de Gleason 4+3. Les patients seront répartis en 2 groupes selon le score de Gleason. Tous les patients auront une biopsie et une Imagerie par Résonance Magnétique (IRM). Après un délai de 6 semaines, tous les patients passeront une TEP/TDM au 68Ga-Rm2 et une TEP/TDM au 68Ga-PSMA-617 (sans ordre de préférence) dans un intervalle de 2 à 21 jours. Après un délai de 2 mois, tous les patients auront une prostatectomie radicale et les patients ayant un cancer de la prostate à haut risque auront en plus un curage ganglionnaire. Aucun suivi ne sera effectué hors des procédures standards.

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Étude HIFUSA : étude de phase 3 randomisée comparant l’efficacité et la tolérance du traitement par HIFU (Ultrasons Focalisés Haute Intensité) par rapport à la surveillance active chez des patients ayant un cancer de la prostate significatif de risque évolutif faible. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] Un cancer de la prostate se développe à partir de cellules de la prostate initialement normales qui se transforment et se multiplient de façon anarchique, jusqu’à former une masse appelée tumeur maligne. La majorité des cancers de la prostate sont des adénocarcinomes (90 %) ; ils se développent à partir des cellules qui constituent le tissu de revêtement de la prostate (cellules épithéliales). Du fait de l’évolution souvent lente de la maladie, un traitement immédiat n’est pas toujours nécessaire. Lorsqu’elle est découverte à un stade asymptomatique et en cas de tumeur à faible risque évolutif il peut être discuté de différer la mise en route du traitement (y compris à visée curative). La prostatectomie radicale reste le traitement de référence, mais ce traitement n'est pas sans effets secondaires. La surveillance active est une stratégie qui vise à détecter un développement précoce de la maladie cancéreuse afin de proposer un traitement curatif en temps opportun et ainsi améliorer la survie. Le but du traitement focal HIFU (Ultrasons Focalisés Haute Intensité) est de détruire le cancer sans provoquer d'effets secondaires contrairement aux traitements radicaux. C'est en ce sens qu'il se positionne à la fois comme une alternative à la chirurgie radicale et à la surveillance active. Le principe des traitements focaux est de détruire le ou les foyers cancéreux présents dans la glande tout en préservant un maximum de tissu de la prostate sain. L’objectif est de préserver la fonction des sphincters et la sexualité d’une part, et d’autre part de réduire le taux élevé de prostatectomie radicale. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité et la tolérance du traitement par HIFU (Ultrasons Focalisés Haute Intensité) par rapport à la surveillance active chez des patients ayant un cancer de la prostate significatif de risque évolutif faible. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront un traitement immédiat par HIFU focal. Les patients du 2e groupe auront une surveillance active. Tous les patients seront revus pour un bilan complet : une IRM et une biopsie sera effectué à 24 mois et 48 mois, d’autres peuvent être programmées sur avis du médecin. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 48 mois.

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